Qu'est ce qu'un miracle?
Au nom de qui? pourquoi en a t'on besoin?
St Laurent sur Sèvres ce 15 août dernier...un grand rassemblement chrétiens avec des témoignages,des prédications de prêtres,de pasteurs,de jeunes,de couples,...une unité qui a porté des fruits
3 jours de fête joyeuse dans le Seigneur,de chants, de danses,de prières, de guérisons aussi!
3 jours qui m'ont permis d'avancer plus sereine ,plus confiante dans un retour au quotidien "banal"avec ses hauts et ses bas...
Je suis revenue avec l'envie de creuser ,de découvrir des témoins du Christ ressuscité
Alors j'ai découvert le "Paris tout est possible" de Carlos Payan
j'ai partagé un week-end de prière et guérison animé par Myriam et Thierry Fourchaud
Je me suis invitée dans le groupe de louange "Plénitude"pour ne pas le nommer!!
http://groupe.plenitude.free.fr/
Mon miracle serait peut-être d'avoir franchi le pas pour écrire cette page
Mon miracle c'est d'avoir pu mettre Dieu en 1ère place dans ma vie
Mon miracle c'est une confiance en la Vie ,en l'Autre qui se réinstaure
Et oui...toutes ces belles choses,ces fraternités ,ces communions qui réveillent et nourrissent nos cœurs desséchés,désespérés ...le miracle que je souhaite c'est de pouvoir continuer ce chemin ...
Paix et Joie
dimanche 4 octobre 2009
vendredi 3 octobre 2008
Nuit Blanche à Paris
La Nuit Blanche 2008 se déroulera la nuit prochaine du 4 au 5 octobre de 19h à 7h du matin.
http://www.paris.fr
La programmation artistique de Nuit Blanche 2008 est confiée à Hervé Chandès et Ronald Chammah.
Les gares parisiennes seront les points phares de cette édition.
Je viens de passer à gare du nord et la mise en scène est dynamique à regarder c'est comme un gros écran de télé avec son et image mais aussi des éléments s'animant à l'intérieur...C'est compliqué à expliquer...
Des artistes comme l’américain Tony Oursler, le français Pierrick Sorin, ou l’indien Shaad Ali, envahiront les halls, les vitrines, les façades et les quais de leurs sortilèges.
Enrichi de plusieurs églises et monuments, le parcours se veut volontairement resserré pour éviter la dissémination au profit de la force et de l’impact d’œuvres de grande qualité.
Avec les projets associés, ce sont au total plus d'une cinquantaine d’interventions artistiques qui prendront place le temps d’une nuit à travers la capitale.et ...dans d'autres villes voir d'autres pays
Qui participera ,à cette manifestation???
http://www.paris.fr
La programmation artistique de Nuit Blanche 2008 est confiée à Hervé Chandès et Ronald Chammah.
Les gares parisiennes seront les points phares de cette édition.
Je viens de passer à gare du nord et la mise en scène est dynamique à regarder c'est comme un gros écran de télé avec son et image mais aussi des éléments s'animant à l'intérieur...C'est compliqué à expliquer...
Des artistes comme l’américain Tony Oursler, le français Pierrick Sorin, ou l’indien Shaad Ali, envahiront les halls, les vitrines, les façades et les quais de leurs sortilèges.
Enrichi de plusieurs églises et monuments, le parcours se veut volontairement resserré pour éviter la dissémination au profit de la force et de l’impact d’œuvres de grande qualité.
Avec les projets associés, ce sont au total plus d'une cinquantaine d’interventions artistiques qui prendront place le temps d’une nuit à travers la capitale.et ...dans d'autres villes voir d'autres pays
Qui participera ,à cette manifestation???
mercredi 1 octobre 2008
I love los mokos!
Chose promise chose due!Lors des fêtes de Bayonne j'avais promis de parler de vous
Vous ...cette banda chaleureuse et "extra-dynamique"nous épuisant de fatigue par
vos rythmes d'enfer!pour petits , grands et ...très grands !à recommander ...
Les commentaires trouvés sur leur blog
http:// mokos.canalblog.com décrivent bien la liesse les environnant! Rendez-vous pris pour l'année prochaine n'est ce pas??!!
mardi 30 septembre 2008
Temps d'automne...photos estivales!
lundi 14 juillet 2008
A la rencontre de l'Armada 2008 - Sarahblue visite Rouen
Gare de Rouen!Dès la sortie du train tout est prévu pour le visiteur:plans ,cartes, horaires ect...
Seul manquait un parapluie!!!
Mais la bonne humeur domine et peu à peu le ciel devient plus souriant et carrément rayonnant en cours d'apres-midi
Important la" bulle repère" des personnes égarées
De nombreuses expositions culturelles et ludiques
pour petits et grands
Des initiatives: "l'arbre à souhait"
La possibilité de survoler le site du haut de la Montgolfière ou...
d'éprouver des frissons en s'installant "gratuitement" dans une des nacelles de la Grande Roue !une première
pour moi!!!
A 40 m de hauteur une belle vue...
Fin du 1er épisode!
SOS pb avec le format de la 1ère photo!!impossible de réduire!!(en-tête)
Quelques animations de chants de marins
à deux pas d'une régate pour tous âges!!
100 m de long!
lundi 7 juillet 2008
Des propos qui me touchent beaucoup...
Ingrid Betancourt : "Ma foi m'a sauvée"
L'ex-otage la plus célèbre du monde s'est rendue au Sacré-cœur de Montmartre ce dimanche 6 juillet pour remercier Jésus et la Vierge Marie de sa libération. Après sa prière, Ingrid Betancourt s'est confiée à Pèlerin pour dire comment sa foi s'est manifestée dans les moments les plus douloureux de sa captivité.
C’était dimanche 6 juillet, au soir, à l’issue de la messe de 22 heures célébrée en la basilique du Sacré-Coeur qui domine Paris du haut de la butte Montmartre. Ingrid avait tenu à faire ce pèlerinage avec ses proches : ses enfants Mélanie et Lorenzo, sa mère Yolanda, sa sœur Astrid, et quelques autres. Parce qu’elle voulait tenir une promesse faite durant sa captivité : remercier d’abord et avant tout Jésus et la Vierge Marie de lui avoir rendu sa liberté. C’est dans la chapelle située derrière le chœur de la basilique qu’elle et sa famille ont prié. Malgré l’heure tardive et la fatigue, Ingrid a accepté de se confier aux lecteurs de Pèlerin, pendant plus d’une demi-heure. Elle a dit la foi qui l’a soutenue dans l’épreuve, son amour pour Jésus et Marie, ses lectures de la Bible et de l’Evangile qui lui ont donné la force de ne pas céder à la haine contre ses geôliers. Votre premier geste de femme libre a été un signe de croix, votre premier mot a été pour remercier Dieu et la Vierge Marie. Pourquoi avez-vous éprouvé ce besoin ? Alors que j’étais en captivité, j’avais pris la résolution, lorsque le moment viendrait d’être libre, de remercier en premier le Seigneur. Pourquoi ? Parce que si je n’avais pas eu le Seigneur à mes côtés, je ne pense pas que j’aurais réussi à grandir dans la douleur. Etre otage vous place dans une situation de constante humiliation. Vous êtes victime de l’arbitraire complet, vous connaissez le plus vil de l’âme humaine. Face à cela, il y a deux chemins. Soit on se laisse enlaidir, on devient aigre, hargneux, vindicatif, on laisse son cœur se remplir de rancune. Soit on choisit l’autre chemin, celui que Jésus nous a montré. Il nous demande : «Béni ton ennemi». A chaque fois que je lisais la Bible, je sentais que ces mots s’adressaient à moi, comme s’Il était en face de moi, qu’Il savait ce qu’il fallait me dire. Et cela m’arrivait droit au cœur. Bien sûr, je reconnais que lorsque l’ennemi est atroce, c’est difficile d’être fidèle à cette parole. Pourtant, dès que je faisais l’exercice de prononcer «Béni ton ennemi» – alors que j’avais envie de dire tout le contraire– c’était magique, il y avait comme une espèce de… de soulagement. Et l’horreur disparaissait, tout simplement. Des choses comme celle-là, je pourrais vous en raconter des jours durant. Je sais, je sens, qu’il y a eu une transformation en moi et cette transformation, je la dois à ce contact, à cette capacité d’écoute de ce que Dieu voulait pour moi. Ce fut un dialogue constant avec Dieu à travers l’Evangile ! Cette foi qui vous a porté durant toutes ces années était-elle là dès le premier jour ? Y a-t-il eu un événement spécial ? Une pensée particulière qui vous a tournée vers Dieu ? Je vais vous raconter une histoire en deux temps, qui me ferait presque rire tant je me souviens parfaitement de ces épisodes. Au début de ma captivité, je me suis dit : «Bon, tu vas passer des mois et des mois ici, alors autant lire la Bible», que je ne connaissais pas. En l’ouvrant, je tombe sur les épîtres de saint Paul. Je le cite de mémoire, c’est à peu près cela : «Tu peux solliciter ce que tu veux, de toute façon le Saint-Esprit sollicitera mieux car il sait mieux que toi ce dont tu as besoin.» Quand j’ai lu ça, je me suis écriée : «Mon Dieu, c’est bien, mais ce que je veux, moi je le sais, c’est être libre !» Six ans après, en relisant la même épître, j’ai enfin compris : «Heureusement que le Saint-Esprit est là pour prier pour moi, car je suis incapable de demander ce qu’il faut.» Voilà… Et cette foi ne vous a pas quittée ? N’avez-vous jamais ressenti des moments d’abandon, de solitude ? La première année, c’est vrai, j’étais en lutte contre Dieu. Je lui en voulais terriblement de la mort de mon père. Je lui disais : «Pourquoi m’as-tu fait ça alors que tu sais que je t’adore ? Pourquoi me punis-tu ?» Et puis j’ai compris qu’il fallait Le remercier de l’avoir pris, car jamais papa n’aurait pu supporter ces six années d’horreur. Alors oui, je peux dire que ma foi a continuellement grandi. C’est curieux, mais c’était comme si des choses se passaient pour que j’en comprenne d’autres. Il faut que je vous raconte ma découverte de Marie. Papa avait une grande dévotion pour la Vierge alors que moi, je dois dire qu’à l’époque, je trouvais Marie un petit peu… bébête. Disons que ce n’était pas vraiment l’image d’une femme qui me faisait rêver. Et puis, en captivité, j'ai relu les Evangiles et je suis tombée en admiration devant elle. Sans doute parce que pour comprendre la Vierge, il faut avoir vécu, acquis une certaine maturité. Et je commence à trouver vraiment sensationnelle cette jeune fille qui accepte d’avoir un enfant alors qu’elle avait un plan de vie totalement différent. Elle court tous les risques. Pour beaucoup de chrétiens, ce sont des choses bien connues, mais pour moi, c’était une découverte. Je découvre une Marie forte, une Marie intelligente, une Marie qui a de l’humour… Je vais vous dire : je suis tombée, comme disent les Canadiens, en amour devant Marie en lisant l’évangile de saint Jean, lorsqu’il raconte les noces de Cana. Je trouve ce dialogue entre Marie et Jésus extraordinaire. Cette complicité entre eux, c’est génial. Malgré toutes les raisons que Jésus oppose à sa mère, elle sait déjà qu’il va faire ce qu’elle veut, qu’il transformera l’eau en vin des noces par amour pour elle. En lisant ce passage, je ne pouvais pas m’empêcher de penser à ma relation avec mon fils, Lorenzo. Vous avez tenu à venir, ce soir, à la basilique du Sacré-Cœur. Quel sens donnez-vous à ce pèlerinage ? Pendant près de sept ans, j’ai fait beaucoup de promesses à la Vierge et je vais vous raconter une chose d’une importance particulière pour moi. Le 1er juin, j’écoutais Radio Catolica Mundial et j’apprends que le mois de juin est celui où l’on célèbre le Sacré-Cœur. Or, la dernière fois que j’ai vu mon père, à la veille de mon enlèvement, nous étions assis dans sa chambre, sous une image du Sacré-Cœur. Papa m’a alors pris la main, a regardé l’image et a demandé : « Sacré-Cœur, prends soin de mon cœur, prends soin de mon enfant. » Aussi, quand j’ai entendu parler du Sacré-Cœur à la radio, j’ai aussitôt tendu l’oreille. Sur l’instant, je n’ai pas bien saisi l’histoire de sainte Marguerite-Marie –en fait, je viens juste d’apprendre son nom. Mais j’ai compris que si, comme elle, on se dévouait au Sacré-Cœur, on recevait des bénédictions. Je me souviens d’une bénédiction, en particulier, celle de Jésus promettant de toucher les cœurs durs qui nous font souffrir. Alors, j’ai fait cette prière : « Mon Jésus, je ne t’ai jamais rien demandé parce que tu es tellement grand que j’ai honte de te solliciter. Mais là, je vais te demander quelque chose de très concret. Je ne sais pas ce que cela signifie exactement “se consacrer au Sacré-Cœur”, mais si tu m’annonces, au cours du mois de juin qui est ton mois, la date à laquelle je vais être libérée, je serai toute à toi. » Et le 27 juin, un commandant de la guérilla rentre au campement et nous ordonne de préparer nos affaires, car peut-être l’un d’entre nous va être libéré. Quand il a parlé, j’ai pensé : « Voilà ! Il est au rendez-vous. » Ma libération s’est déroulée de manière très différente, mais le fait est que Jésus a tenu parole : je vis un miracle. Lire l'interview intégrale d'Ingrid Betancourt dans Pèlerin n°6554,en kiosque dès le 10 juillet. Elle en dit plus sur les retrouvailles avec ses proches, sur Marie et sur la Bible qui lui ont permis de supporter les souffrances de sa détention, sur son témoignage de foi auprès des autres prisonniers. |
Propos recueillis par Antoine d'Abbundo et Vincent Cabanac (Crédit photo : EFE/MAXPPP) |
mercredi 2 juillet 2008
Libération d'Ingrid Betancourt et de 14 otages
Me réjouir tout simplement en pensant aux enfants d'Ingrid, à ses proches ...
Admirer son courage,sa ténacité dans sa démarche politique
Ne pas oublier "les anonymes" qui luttent eux aussi pour un monde plus juste et plus humain
Pour s'informer,continuer...Pablo Emilio Moncayo, qui est détenu depuis 11 ans ..
* www.EducWeb. org - pour les enseignants et leurs classes
* www.Betancourt. info -
* www.Aeropostale- 3000.org - écrire à un des 3.000 séquestrés de Colombie
* www.Atterrissage. org - l'Europe : rêve ou cauchemar ?
* www.AlterFocus. com - un autre regard sur l'actualité
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